Anita Blake
Le cirque des Damnés, tome III
Laurell K Hamilton
Le cirque des Damnés, tome III
Laurell K Hamilton
Biographie sommaire.
Laurell K. Hamilton est née en 1963. C'est en 1993 qu'elle crée le personnage d'Anita Blake, auquel elle consacrera un roman chaque année, parallèlement à des novélisations pour séries (Star Trek). Portées par le bouche-à-oreille, les aventures de sa tueuse de vampires sont devenues aujourd hui d'énormes best-sellers.
Les autres romans de la série :
1- Plaisirs Coupables.
2- Le Cadavre Rieur.
4- Lunatic Café.
5- Le Squelette Sanglant.
6- Mortelle Séduction.
7- Offrande Brûlée.
8- Lune Bleue.
9- Papillon d'Obsidienne.
10- Narcisse Enchaîné.
1- Plaisirs Coupables.
2- Le Cadavre Rieur.
4- Lunatic Café.
5- Le Squelette Sanglant.
6- Mortelle Séduction.
7- Offrande Brûlée.
8- Lune Bleue.
9- Papillon d'Obsidienne.
10- Narcisse Enchaîné.
Quatrième de couverture.
Je vous le dis franchement : je stresse! Nous vivons vraiment clans un univers IM-PI-TOYABLE ! Prenez par exemple Jean-Claude, propriétaire, entre autres, du Cirque des Damnés, une boîte branchée des plus rentables. Eh bien, il n'est entouré que de gens qui veulent soit lui faire la peau, soit prendre sa place, voire les deux. Tous des vampires, bien sûr, avec des dents qui rayent le parquet. Vous me direz que, même s'il ale sens de l'humour, J.-C., lui aussi est un vampire et que sa principale ambition semble être de faire de moi son esclave. Peut-être finalement devrais-je laisser les loups-garous et autres se dévorer entre eux. Et plutôt me consacrer à empêcher mes chers zombies de nuire...
Mes impressions.
Je vous le dis franchement : je stresse! Nous vivons vraiment clans un univers IM-PI-TOYABLE ! Prenez par exemple Jean-Claude, propriétaire, entre autres, du Cirque des Damnés, une boîte branchée des plus rentables. Eh bien, il n'est entouré que de gens qui veulent soit lui faire la peau, soit prendre sa place, voire les deux. Tous des vampires, bien sûr, avec des dents qui rayent le parquet. Vous me direz que, même s'il ale sens de l'humour, J.-C., lui aussi est un vampire et que sa principale ambition semble être de faire de moi son esclave. Peut-être finalement devrais-je laisser les loups-garous et autres se dévorer entre eux. Et plutôt me consacrer à empêcher mes chers zombies de nuire...
Mes impressions.
Après le deuxième tome qui m’avait un peu moins plus, le troisième tome de la série d’Anita Blake ma de nouveau replongée avec excitation dans l’univers fantastique de Laurell K. Hamilton. J’ai l’impression que certaines tournures de phrases sont hésitantes, peut être est-ce un phénomène du à la traduction française c’est sans doute pour cela que j’ai l’impression de voir une camionneuse au lieu d’une héroïne super sexy et parfaite. Mais pas sure que la faute incombe totalement à la traduction parce que j’ai vraiment l’impression que Hamilton fait une obsession sur les Nike, Anita en a toute une collection et d’autres personnage en ont, et autres trucs dans le genre, en fait pour être sincère je comprend pas vraiment le mode de réflexion de l’auteur, parfois elle a des idées bizarres et hors de propos.
Anita Blake est un personnage très fort, elle montre une résistance à toute épreuve. Malgré sa tentation pour Jean-Claude qu’elle affiche depuis le début de la saga, elle résiste au vampire (pourtant moi je ne demanderais qu’à tomber dans ses bras). Elle a ses convictions et les affirment avec renfort d’insultes et gros mots (je n’ai jamais aimé ce genre d’héroïne dur-à-cuir et sans faille) d’ailleurs j’ai toujours une image du physique d’Anita très peu attirante, pourtant dans mon imagination j’ai toujours vu mes héros et héroïnes très sexy cependant en faisant quelque recherches j’ai découvert les images d’une BD sortie sur les aventures d’Anita Blake et comme vous le voyez c’est pas mal du tout, ca a un peu changé ma vision des choses (d’ailleurs ca m’intéresserais de lire cette BD).
Cependant je reste étonnée par la résistance qu’elle affiche face aux épreuves, en quelque jours elle vit les pire moments de sa vie ; elle a faillit mourir a plusieurs reprise, elle a vu des scènes de crimes au point de se sentir mal, elle n’a pas beaucoup dormi, et elle ne mange pas (d’ailleurs j’ai remarqué, petit détail sans importance mais amusant que l’auteur ne décrit jamais Anita en train de manger, mais très souvent en train de boire du café), etc., … et elle ne pleure jamais, ne s’écroule jamais et ne pique pas une seule crise (j’trouve pas ca vraiment normal, chaque humain a ses faiblesses à son quota d’horreur, or Anita vit vraiment des aventures sans relâche, mais enfin disons plutôt que je ne suis pas habituée à voir des personnages aussi résistants).
Richard, nouvel arrivant dans la série, est aussi un personnage très fort quoi qu’il affiche très vite ses émotions quand il sait Anita en danger j’ai l’impression qu’il est bien plus humain sentimentalement qu’Anita et c’est un comble puisqu’il n’a plus rien d’un humain. On le voit très peu dans l’histoire et bien que j’ai été poussée par la curiosité de lire leur rencarts, il est évoqué à la fin du roman en quelques lignes et leur baiser échangé en une seule ligne (j’espère vraiment que dans le prochain tome il y aura plus de détail sur ce point la … ho oui j’ai besoin de ma dose d’amour dans les romans). Décidément plus je lis cette série plus je me dis que les romans sur Anita Blake ne sont pas des romans pour les éternels romantiques.
Jean-Claude toujours aussi sexy, et très (très) attirant. Je serais volontiers devenue sa servantes <3. Je suis bien contente qu’il soit plus évoqué dans ce tome ci, il m’avait un peu manqué dans le deuxième tome. En plus ici il est en danger et grrrr ca le rends encore plus sexy. Cependant même si j’adore ce personnage j’ai l’impression que je n’ai pas encore pu faire le tour de sa personnalité, ou bien j’en apprendrais plus sur lui dans les autres tomes, ou bien Hamilton a choisit de nous décrire un maitre de la ville un peu plat, ou peut être est ce la traduction qui rend mal les choses, mais c’est tout de même un peu décevant
Les inspecteurs de police Dolph et Zerbrowski sont toujours présentés mais très peu cette fois ci. Bien que tout commence encore une fois par une affaire de meurtre comme d’habitude. Ils sont pareils à eux même.
Quant à la bande des « méchants », Oliver, Alejandro, … ils sont pareils à l’idée des vampires que je me fais en général, séduisant dans tous les termes, Oliver et Alejandro sont tous les deux obsédés par leur but, et c’est sans doute ce qui les rend intéressant malgré le fait qu’on a pas souvent affaire à eu (dur de se faire une psychologie des personnages).
Aussi interviennent des créatures nouvelles, comme les dhampir (sorte de personnages-serpents très anciens) créatures terribles et très dangereuses. Mais il y a de nouveaux des lycanthropes, …
Finalement on peut dire que je suis satisfaite de ce nouveau roman et plus qu’impatiente de pouvoir lire la suite qui m’attend bien sagement sur la bibliothèque. Cependant je reste décidément moins sensible à ce nouveau type d’héro que je vois fleurir depuis quelque année déjà. C'est-à-dire des héros qui n’ont peur de rien, qui n’hésite pas en venir aux mains (homme ou femmes d’ailleurs) qui ne craquent presque, qui ne sont jamais faibles, des dur-à-cuirs quoi ! Je ne sais si c’est en rapport avec une évolution nouvelle de notre société mais je préférais les héros plus humains qui ont leurs faiblesses qui n’ont jamais demandés à être embarqués dans ce genre d’aventure. Mais qu’à cela ne tienne ce n’est pas cela qui va me gâcher le plaisir de la lecture (juste un petit brin de nostalgie).
Et vous qu'en pensez vous ?
Bonne lecture.
Bonne lecture.
Babylon.