Babylon

Babylon



La nuit dernière au XVe siècle.
Didier Van Cauwelaert
Le livre de Poche.

––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––



 



http://babylon.cowblog.fr/images/9782253126522G.jpgQue dire sur ce bouquin si ce n’est que j’ai été plutôt déçue, encore une fois je ne m’attendais pas une histoire comme celle-ci. Je n’ai jamais lu de Van Cauwelaert avant ce jour, pourtant j’en avais beaucoup entendu parler sur d’autres blog avec des avis toujours diversifiés mais souvent positif, ne connaissant pas son style je me suis dis qu’il serait bien d’essayer malgré le fait que ca ne m’attirais pas plus que cas.

Soit quand j’ai vus le titre du livre et le quatrième de couverture, je me suis réjouie de découvrir un auteur avec une histoire qui semble plutôt génial. Et donc je suis déçue de ce que j’ai découvert, en fait je m’attendais à une histoire comme « Vint un chevalier », un roman à l’eau de rose du type Harlequin, ou un homme du moyen-âge  se retrouve coincée à notre époque, s’en suit une très belle et mièvre histoire d’amour. Mais finalement je me suis retrouvé devant un récit très différent plus rationnel et pour tout dire je me suis ennuyé en lisant ce livre.

Malgré l’idée assez bonne de mêler l’irrationnel au rationnel de manière tangible, le fait que Jean-Luc Talbot, contrôleur des impôts (croyez moi dans les romans à l’eau de rose ce n’est pas a ce genre de personnages que l’inattendu se présente), plutôt banal avec des émotions assommantes à propos de ses amours et de sa vie en général. Il finit par se retrouve avec des contrôlés un peu frappa-dingue qui lui parle que le fantôme d’une femme du 15 e siècle l’attends depuis tout ce temps. J’ai trouve l’histoire mal ficelée et pour tout dire peu attrayante. Les personnages manques de consistance, ils peu complexe à mon gout et manque de charme. J’ai l’impression de me retrouver devant un livre scientifique simplifié pour le grand publique mais qui utilise des mots complexe pour expliquer des choses simplifiés. Enfin j’me comprends je ne sais pas si ma métaphores vous parle mais tout ca pour dire que je suis restée sur ma faim, je m’attendais a beaucoup de choses de ce livre sauf a ca. Finalement je vais attendre un petit temps avant de réessayer la lecture d’un livre de Van Cauwelaert.

En résumé : décevant, très réaliste dans l’irrationnel, et peu d’attrait dans le récit.

Mais encore une fois, je me sens toujours un peu coupable de donner un avis un peu négatif sur livre, je n’ai pas envie d’influencer le jugement des personnes qui visitent mon blog sous peine de peut être leur faire rater le livre de leur vie (hé hé tous les gouts sont dans la nature non ?). Je veux juste vous dire que ce livre ne m’a pas plut, mais je suis ouverte à toute propositions contraires de votre part, après tout c’est peut être une mauvaise impression de ma part qui peu changer à tout moment.



 

http://babylon.cowblog.fr/images/bior2c7.jpg

 

 


Babylon.

 

Contemporain

Mardi 20 juillet 2010 à 14:02



L’ombre du vent,
Carlos Ruiz Zafon. 
Le livre de Poche. 


––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––


 





 Quel titre poétique, assez peu évocateur de l’histoire au début, puis petit à petit on découvre la trame du récit à travers l’histoire d’un roman trouvé.

 

Je dois dire que quand je l’ai acheté je ne m’attendais pas à ce type d’histoire, je ne sais pas vraiment ce que j’attendais, d’ailleurs qu’en ce moment mon instinct se trompe souvent en ce qui concerne les livres. Je ne suis plus vraiment lecture en ce moment, j’ai beaucoup de mal à m’immerger dans une lecture comme je pouvais le faire avant de rentrer à l’unif. Maintenant ca fait plus ou moins trois ans que je suis à l’université et ca tourne au ralenti, je ne sais plus très bien ce que je veux,  je laisse de cotés la lecture parce que je vis plus les choses que j’ai laissé de cotés avant mais je ne peux pas m’en passer, j’ai toujours autant besoin de la littérature. Enfin tout ca pour dire que j’aurai pu adorer cette lecture, elle a tous pour me plaire, une histoire qui à premier vue ne ressemble pas à ce qu’elle est, un peu de fantastique, des personnages torturés, une ville désolé aux blessures qui tardent à cicatriser, des méchants vraiment méchant pour une raison, des héros qui se cherchent à travers une quête.

Daniel, le personnage principal, est un personnage vraiment attachant, entouré de son père et de Fermin.

J’ai surtout beaucoup aimé les histoires un peu surnaturelles de malédictions ou les personnages pris de folie sont devenus l’ombre d’eux même, finalement c’est peut être à ca que rapporte le titre, au fait que chaque être torturés qui n’arrive pas enterré leur blessure de l’âme devienne l’ombre d’eux même : des exemples peut être ? Julian, Fumero, Jorge Aldaya, Tomas Aguilar, …. Ils vivent dans l’ombre de leur passé et de leur regret.

Tout ca semble un peu mélodramatique mais je crois que c’est un peu l’ambiance du livre.

http://babylon.cowblog.fr/images/6a00ccff8b9fb8673100fa96a1e3bb0003500pi.jpg

 

Mais enfin pour donné mon impression du moment j’en ai été surprise, intriguée mais finalement pas assez pour mettre ce livre dans la catégorie des livres que j’ai véritablement aimé. Peut être que je l’ai lu au mauvais moment. Mais cependant je ne voudrais pas ternir une critique qui n’est pas mauvaise, ce livre était vraiment bien, très intéressant et captivant mais peut être pas assez pour moi en ce moment.

 
 
 









Babylon.

 

Contemporain

Mardi 20 juillet 2010 à 14:07

 
Les tribulations d'une caissière,
Anna Sam , 
éd Stock. 


––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––

 

Les tribulations d’une caissière est sans conteste un des livres qui m’a le plus surprise (d’un point de vue positive cela va sans dire). Quand on me l’a offert, je ne m’attendais certainement pas à ca, d’ailleurs si on ne me l’avait justement pas offert je ne l’aurais sans doute jamais acheté.
 
Au début je croyais que ca allait être un roman sur l’histoire d’une caissière mais sans grand intérêt, le genre de littérature un peu assommante et sur jouée. Mais que ne fut ma surprise quand j’ai commencé les premières pages. Le résultat est que je n’ai pas pu m’en détacher.Détrompez vous chez lecteurs ce n’est pas l’histoire ou une histoire de caissière mais des anecdotes véridiques sur la vue d’une véritable caissière.
 http://babylon.cowblog.fr/images/tribulpoche.jpg
Anna Sam, française a fait des études de littérature française, tout lui promet un avenir du moins intéressant mais voila que finalement ses études ne l’aide pas à trouver un boulot (ca c’est bien ma veine … j’ai failli faire des études comme ça, finalement j’ai choisi « histoire de l’art et archéologie » pour avoir encore plus de mal à trouver un boulot). Au final elle se retrouve « hôtesse de caisse » dans un supermarché, tout ce qu’il ya de plus banal. Mais voila qu’après quelque année de bons et loyaux services elle décide d’annoter diverses anecdotes, non seulement pour qu’on arrête de prendre les caissières pour des plantes vertes mais aussi parce que finalement le métier en supermarché c’est franchement pas facile tous les jours et parfois même … inattendus.
L’aventure commence sur un blog  caissierenofutur que je ne connaissais pas avant de lire le livre, et puis elle édite un livre, assez court que je vous conseille fortement d’avoir dans votre main, pour le parcourir de vos yeux avides de sensations fortes. Parce que oui finalement ce roman est une série de sensations fortes, puisqu’il décrit (avec un sens de l’humeur parfaitement maitrisés, enfin je trouve, on pourrait d’ailleurs peut être en faire un One man’s show) un métier contemporain, qu’on a souvent tendance à rattacher avec un certain dégout à un sens péjoratif. Qui n’a jamais entendu dire « je ne veux pas finir caissière ! »  Au même titre que femme de ménage ou chômeur/se. La honte quand même, et pourtant, c’est un métier comme un autre et il en faut bien et puis pourquoi ne pas témoigner un minimum de respect pour ces personnes qui, tous les jours, supportent notre comportement pour le moins désagréable. Il y a d’ailleurs une sacré série d’exemple relatés dans ce bouquins. Et croyez-moi je n’aurais jamais imaginé que des gens puissent être à ce point désobligeants. Ce qui est sûre c’est que je ne ferais plus jamais mes courses avec le même état d’esprit.
 
 http://babylon.cowblog.fr/images/annasam.jpg
J’ai donc adoré cette lecture, un livre de 186 pages ca se lit vite, très vite quand on est passionné, donc pas de soucis si vous n’appréciez quand même pas, la pilule passera vite comme on dit.
 
Je vous retranscris un extrait, il y en a pleins qui sont supers mais celui, je le mets sur une liste à faire si un jour je décroche un job de caissière. Je vous explique la situation ; Anna Sam nous parle dans ce chapitre des articles gênants : en effet qui n’a jamais eu un besoin relativement présent de serviettes hygiéniques, tampons ou encore du petit chapeau magique qui protège des méchantes maladies (vous voyez ce que je veux dire). On détourne tous, gêné,  les yeux, on n’ose pas regarde l’ « hôtesse de caisse », on se la joue « j’m’en fout, j’suis pas gêné », on rougit un peu avec un petit sourire aux lèvres. Ici elle aborde le DVD porno, vous imaginé la situation !  
extrait :  
Et bien sûr, je ne vous parle pas (si je vous parle, c’est trop bon !) de la tête du client dont le DVD ne passe pas, au moment précis où tous le monde entendra ma jolie voix demander : « Rayon DVD, s’il vous plait, la caisse numéro cinq voudrait connaître le prix de « Baise-moi ». Et à cet instant, moi aussi, j’aimerai bien voir votre tête.
 
 
Cruel ? Ou pas ? Hihi moi j’adore.
 
Babylon.

Contemporain

Dimanche 8 août 2010 à 18:58



 

Dojoji et autres nouvelles
Yukio Mishima
Folio 2euros.

 

––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––


 




Comment m’y prendre avec ce livre ? Autant vous dire d’avance que j’ai sauté de joie quand j’ai refermé ce livre. Non pas parce que j’étais tout émoustillée par la lecture, mais bien parce que cette lecture fut pénible. Cependant comme c’était un livre provenant de la collection folio 2€, la lecture fut dieu merci assez rapide.

 


 

 

http://babylon.cowblog.fr/images/dojojicopie1.jpg

Yukio Mishima : L’auteur, en réalité,  Kimitake Hiraoka est issu d'une famille de paysans. Enfant, il vit surtout avec sa grand-mère, issue d'une ancienne lignée de samouraïs. Ses contacts avec l'extérieur sont réduits. A l'âge de 5 ans, Kimitake compose ses premières poésies. L'enfant est décrit comme fragile, effacé, subissant le joug d'une grand-mère autoritaire, qui lui transmet néanmoins la passion du théâtre traditionnel, le Kabuki. Dés 1937, il fréquente des cercles littéraires et se fait remarquer par ses professeurs. En 1941 il adopte son pseudonyme. Rentré à l' Université en 1944, sous la pression de son père, il est réquisitionné dans un bureau jusqu'à la fin de la guerre, et peut ainsi écrire. Aprés la reddition, il fréquente un groupe de jeunes écrivains, "Littérature moderne", au sein duquel il se sent un peu 'anachronique' de par son écriture 'traditionnelle'. En 1946, il rencontre Kawabata qui devient son ami. Dans les années 1960, il se met à prôner le mode de vie et les valeurs des samouraïs. Son nationalisme est virulent. En 1970, il se fait hara-kiri en signe de protestation. (Evene).
 http://babylon.cowblog.fr/images/imgdelete.png
 
D’autres lectures : la foret tout en fleurs - voleurs - Confession d'un masque - le passage des démons - le Phare - Monstre - la Pure Nuit blanche - ma Période Bleure - la Mort en été - le Tambour incarné , ....  (Kimitake Hiraoka a pas mal écrit, je n'ai mis que quelque exemple de sa bibliographie :  si vous voulez vous référer à sa bibliographie complète c’est par ici)


Cherchant à mettre en avant le style légèrement décalée et morbide de l’auteur, le livre nous livre quatre nouvelles tirées La mort en été.
Tout d’abord la première Dojoji est transcrite sous forme de pièce de théâtre. L’avantage de ce genre c’est qu’il est rapide à lire et va droit au but, cependant j’ai tout de même eu l’impression que l’histoire tirait en longueur. La scène se passe chez un antiquaire qui essaye de vendre à une série d’acheteur potentiel  une armoire immense à un prix d’or. Mais voila que Kiyoko, une danseuse arrive et raconte l’histoire qui va de pair avec cette armoire. La « légende » raconte que la propriétaire cachait son amant dans cette immense armoire ou l’on pouvait y mettre un lit. Un jour le mari entendait du bruit provenant de l’armoire et tuait l’amant. Peu après Kiyoko révèle que cet amant avait une fiancée qui n’était autre qu’elle-même. Le reste de la pièce laisse la belle Kiyoko s’apitoyer sur son sort et essayer de se bruler avec de l’acide. Malgré une idée à la base intéressante, je n’ai pas pu m’empêcher d’être mal à l’aise.
La deuxième histoire, les sept ponts est l’histoire de trois geishas qui veulent faire exaucer leur vœux et pour cela elles doivent traverser sept ponts sans parler à quiconque. Leur chemin est semé d’embuche. Je crois que c’est à partir de cette nouvelle que j’ai vraiment commencé à avoir du mal.
La troisième nouvelle est l’histoire d’un couple, le lieutenant Shinji Takeyama et son épouse Reiko qui se donne la mort en s’éventrant comme c’est la tradition des samouraïs. Quoi un peu long à la détente, j’ai un peu aimé la scène ou ils font l’amour désespérément. Cette nouvelle est nommée Patriotisme.
Enfin, la Perle (ou plutôt la pilule) a eu du mal a passé. La nouvelle nous narre la fêter d’anniversaire de Mme Sasaki qui invite ses amies pour diner. L’histoire tourne autour d’une perle perdue.
 
 
Je n’ai jamais grand-chose à dire quand je n’ai pas aimé une lecture. Je suis vraiment déçue, je ne sais pas si je relirais de sitôt une lecture asiatique, je sais que tous les auteurs ne se ressemblent pas mais je suis un peu dégoutée pour le moment. Il faudra attendre que ca passe. Finalement je me dis que le style de l’auteur pourrait quand même plaire de par son originalité et sa façon particulière de décliner les sentiments et les ambiances. Donc n'hésitez pas si ca vous tente.


Babylon.

Contemporain

Lundi 16 août 2010 à 10:50

http://babylon.cowblog.fr/images/couv51367081.jpg


Soie (Seta)
Alessandro Baricco.
Edition Albin Michel.
 
 





 
Quatrième de couverture : Vers 1860, pour sauver les élevages de vers à soie contaminés par une épidémie, Hervé Joncour entreprend quatre expéditions au Japon pour acheter des œufs sains.
Entre les monts du Vivarais et le Japon, c'est le choc de deux mondes, une histoire d'amour et de guerre, une alchimie merveilleuse qui tisse le roman de fils impalpables. Des voyages longs et dangereux, des amours impossibles qui se poursuivent sans jamais avoir commencé, des personnages de désirs et de passions, le velours d'une voix, la sacralisation d'un tissu magnifique et sensuel, et la lenteur, la lenteur des saisons et du temps immuable.
 
 

 
Biographie de l’auteur : Né à Turin Alessandro Baricco a étudié la philosophie et la musique. Il a commencé à travailler comme rédacteur dans une agence de publicité, tout en écrivant des critiques et des éditoriaux pour les quotidiens La Repubblica et La Stampa. Ses romans sont guidés par son amour de la littérature et de la musique. En 1995, avec "les Château de la Colère" il obtient le prix Médicis étranger. La sensibilité musicale de Baricco transparaît dans 'Novecento pianiste', roman rythmé par les notes s'échappant du piano du personnage éponyme. Il a travaillé avec Gabriele Vacis et le Teatro Settimo de Turin pour la mise en scène de "Novecento". En 1994, Baricco a fondé avec un groupe d'amis une école d'écriture appelée Holden. Il continue son activité débordante, en publiant régulièrement des romans, dont "Sang sang", en 2002, et des scénarios, comme "La Partition Espagnole", rédigée en 1987. Avec "Soie", véritable succès en Italie où plus de 250.000 exemplaires sont vendus, il s'impose comme un des grands écrivains de la nouvelle génération.
 
 
 
 
 
 
 
D’autres livres d’Alessandro Baricco :
-          Château de la Colère.
-          Océan mer
-          Pianiste.
-          Sang Sang
 
 
 
 
Mes impressions : Depuis un petit temps que j’avais ce livre dans ma PAL il était enfin temps que je me décider à le lire. Et cette occasion s’est présentée ce week-end.
Ce roman se lit très rapidement. En effet il est composé d’une suite de très court chapitre qui ne font que 1 à 2 pages +/- et ne fait qu’une centaine de page en tout.
 
Comme d’habitude j’essaye toujours d’en savoir le moins possible des avis des autres avant de commencer une nouvelle lecture comme ca je ne me sens pas influencer par d’autres critiques.
J’ai commencé donc dans l’ignorance totale, je n’ai même pas lu de résumé (à vrai dire quand je l’ai acheté à une brocante il était à 1 euros je me suis dis qu’a ce prix là ca ne se refusait pas, je savais que beaucoup de gens en parlait mais je ne connaissais rien de l’histoire) ^^
Je ne sais pas dire si j’ai aimé ou pas. J’ai certes été touché et déroutée par la plume de Baricco mais je suis contente que le roman est assez court parce que je sens que s’il avait été plus long, j’aurai fini par m’ennuyer.
 
Le récit se déroule dans une atmosphère calme, provinciale mélangée d’exotisme et de simplicité, mais les sentiments complexes que Joncour éprouve pour la Jeune fille aux yeux d’européenne sont comme désespérément aplatis.
En fait c’est en réfléchissant à ce que ce roman m’a procuré que je commence à l’aimer.
On y décrit des moments de tension extrême et de folie de la manière la plus sereine qu’il soit ce qui rend ces scènes étranges.
Je pense que Baricco a su trouver sa manière propre et originale de raconter une histoire qui aurait pu être banal si elle avait été racontée d’une manière différente.
L’histoire raconte les périples d’Hervé Joncour au Japon (récemment ouvert aux étrangers) afin d’acquérir des œufs de verres à soie. Il y rencontre une jeune fille aux« yeux qui n'avaient pas une forme orientale, et dont le visage était celui d'une jeune fille ». S’en suit un amour désespéré, tenu et contrôlé et à jamais inaccessible. C’est presque un amour respectueux et platonique. Je ne sais pas comment décrire ca, mais il faut le lire pour le ressentir. Je crois que cette histoire a une dimension intemporelle et irréelle ce qui donne tout son charme.
Je vous le conseille, de toute façon il se lit très vite.
 


 
Et Vous qu’en Pensez-Vous ?
Bonne Lecture.
 
 
Babylon.
 
 

Contemporain

Vendredi 15 avril 2011 à 11:53

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast