Le Magicien d'Oz
L. Frank Baum.
Librio.
Ca fait plusieurs semaines que je veux écrire ce billet mais à vrai dire je trouve ca barbant, je ne sais pas si c’est parce que je m’y prends mal ou tout simplement parce que ca m’ennuie véritablement. Alors j’ai décidé de m’y prend d’une manière différente, je vais essayer d’être plus naturel sur ce que j’écris, même si ce que je dis s’éloigne un peu des nombreux exemples de critiques de livres que l’on peux retrouver sur le net et que, ma foi, j’envie de jalousie.
Commençons pour ce livre, Le « magicien d’Oz », édité en 1900 L. Frank Baum, ce titre résonne en moi comme l’évocation d’un souvenir d’enfance quand j’y pense j’ai des vieilles images floues qui me viennent en tête et qui m’emplissent d’une certaine nostalgie. J’ai surement du voir le film dans mon enfant, un jour, à la télé… mais j’en ai perdu le souvenir, alors je me suis dis quand j’ai décidé d’entamer la lecture pourquoi ne pas dénicher le film et en faire une espèce de comparaison.
J’ai acheté ce livre, il y a longtemps je croix, je pense que c’était c’est Molière une librairie très importante de Charleroi, d’ailleurs j’adore cette librairie, son organisation, sa présentation, son odeur de bouquins neuf (je sais qu’on a cette odeur dans toute les librairies qui vendent des livres neufs, mais ici c’est particulier) et même son architecture, sa situation dans la ville, rue de …. Et dire qu’avant cette rue n’en était pas une c’était la ou passait la Sambre, après en 1945 si je me souviens ils ont déplacé le cours du fleuve pour divers raisons. Mais je m’imagine aller en péniche faire un tour dans ma librairie préféré, ca garde son petit charme ; mais je m’écarte un peu de mon sujet. Je ne sais plus trop a quelle occasion je l’ai acheté mais c’était un il a y un petit temps, je l’ai acheté en me disant que deux euros pour un classique de mon enfance ca pourrait pas faire de mal et puis en voyant le titre je me suis dit qu’un peu de fraicheur enfantine serait la bienvenue. Bref je l’ai déterré de PAL dernièrement.
Je dois dire que je ne m’attendais pas à une lecture aussi simple, naïve, je savais que c’était de la littérature pour enfant mais je m’attendais à une histoire et une écriture plus complexe. Qu’a cela ne tienne, je ne me suis pas découragée, je me suis même dis que ca pourrait changer des histoires pliée en quatre. 125 pages avec beaucoup de courts chapitres ce fut donc bref et rapidement terminé. Dorothée se retrouve dans le monde du Magicien d’Oz d’une manière totalement naïve, et bien que les personnages soient des stéréotypes de ce qu’il représente symboliquement, l’histoire et leur dialogues ne manquent d’une certaines « convivialité », alors ne vous méprenez ce n’est pas de la littérature intellectuel, mais plutôt une littérature attractive peut être même ludique. Je me vois bien dans un sacré bout de temps faire cette lecture à l’un de mes futurs enfants, … mais enfin tout ca c’est pour dans longtemps.
Il n’y a pas grand-chose à dire de plus, ca fait quand même longtemps que je l’ai lu.
Juste dire que j’en ai gardé un gout très agréable, je pense même que ca pourrait être « funny » d’en faire une lecture à voix haute.
Quant au film musical, réalisé en 14939 par un certain Victor Fleming, qui semble avoir eu son succès, et notamment certains de ses chansons comme « over de the Rainbow » qui est très connue, etc., … j’ai lu pas mal de trucs sur le films, apparemment il s’est passé pleins de petite catastrophes et contretemps sur le plateau du tournage, comme par exemple il parait (selon wikipédia) que l’acteur qui interprétait le rôle de l’homme de fer avait été admis à l’hôpital car il avait inhalé trop d’aluminium qui était contenu dans son maquillage. Il y a eu aussi certaines modifications dans le scénario par rapport au livre, c’est assez courant des les adaptations de livre au cinéma. Mais ici beaucoup de choses ont été changés, des ajouts de personnages, des rognages de scènes pour faire au plus court, … et notamment le début de l’histoire est fortement différent. Mais ca ne m’a pas dérangé, c’était une adaptation plus « Disney » d’un livre, et pourquoi pas ! Sinon j’ai beaucoup aimé le technicolor, la technique de colorisation des images dans les années 30-40 qui est très flashy, les personnages sont très naïves et c’en est parfois vraiment niais, à en pleurer de rire mais bon c’était une autre époque.
Pour le reste des informations très intéressantes que l’on peut lire sur le livre et le film je vous renvoi à l’article crée par Wikipédia à ce sujet.
En quelque mots : une lecture courte, simple et naïve qui n’est cependant pas dénuée d’un certain charme.
Enfin voila je ne sais pas si je m’en sors bien dans ma nouvelle façon de « critiquer » mes lectures mais je n’ai pas vraiment envie de m’aventurer dans les détails, de tout façon je ne suis pas une fille très détails. Soyez en prévenus !
Babylon.
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